Un peu de détente (PV: Jamy Juso ; Âme sensible s'abstenir ;p)

Je souris à ses paroles et le regarda enlever sa chemise une seconde fois pour mettre seulement sa veste. Par la suite, il se rassit à coté de moi. J'appris également son âge ce qui est tout de même important.

- Je suis sur que tu es plus intelligent que tu le parais, si tu veux de l'aide pour les cours, tu n'auras qu'à venir me voir

Je lui souris et lui fis un clin d'œil. Il faut dire que pour réussir à atteindre ce grade dans le lycée, j'avais beaucoup étudier. En un seul instant, je refis une fixation sur ses yeux. Je me dis qu'éventuellement, il voudrait peut être savoir mon âge également du coup, je ne tarda pas à lui dire.

- Au faite, moi j'ai 17 ans, même si j'aurais bientôt mes 18

Il était vrai que mon anniversaire ne tarderais pas.

Elle me fit un jolie compliment, elle me proposa de m'aider, elle était si gentil, jamais on avait était aussi gentil et attentionné à mon égard. Je me demander pourquoi j’avais droit à ce traitement de faveur. Je ne le méritais pas du tout, c'est ce que je penser.
Elle m'appris son age, elle était un peu plus jeune que moi et encor mineur mais ce n'était pas trop grave, après tout elle aller bientôt avoir 18 ans.

"C'est donc bientôt ton anniversaire, tu voudras que je t'offre un cadeaux ?"

Je ne savais pas quoi, lui dire en faites, je en voulais qu'une seul chose, l'embrasser de nouveaux mais je ne voulais pas la mettre mal à l'aise. Mais il y a autre chose qui me trottais dans la tête.

"Pourquoi tu es aussi gentil avec moi ?"

J'étais heureuse de savoir qu'il n'était pas ni plus jeune que moi ni trop âgé. Mais peut être que je n'aurais pas du dire que j'allais bientôt avoir 18 ans.

- Un cadeau n'est pas nécessaire

A peine avais-je répondu à sa question qu'il m'en posa une autre mais celle-ci, comment y répondre ?

- Je suis désoler, je ne saurais pas l'exprimer avec des mot

Il m'était totalement impossible de décrire une telle "chose" avec de simples mots. Comment aurais-je pus l'exprimer ? Je réfléchis à une façon de le faire avant d'en trouver une, bien que cela ma fasse rougir des plus belles. Je le regarda, m'approcha doucement de lui jusqu'à ce que mes lèvres touchent les siennes. J'y allait doucement, avec tendresse.

J’attendais sa réponse en la dévorant du regard, je la vit un peu rougir et s’approcher de moi pour m'embrasser. Une fois de plus je crut que mon cœur aller sortir de ma poitrine, le contact de ses lèvres me balancer des frisson de partout dans le corps. Je posa une mai sur sa jou et continua son baiser. Les yeux fermer je ne voulais plus m'aretter de l'embrasser. Ses lèvres si douce, si tendre, elle m'envoyer tout le bonheur que je souhaiter. Elle avait rougi avant de le faire, cette aspect si timide de sa personne me toucher au plus haut point. Elle était si attendrissante. Elle me procuras tellement de joie et je n’avais tellement pas l'habitude que je senti une larmes couler de ma jou.

J'ouvris l'un de mes yeux pour voir un signe sur son visage quand j'aperçu une petite larme, glisser doucement le long de sa joue. Ma main se posa sur son visage et essuya la larme. Je sentais en moi mon cœur frémissant de bonheur. J'avais beau chercher, je ne trouvais pas le sentiment qui pouvait correspondre à tous ceci, mais tout ce que je savais, c'est qu'il était puissant et fort en bonheur. Je ne voulais pas décrocher mes lèvres des siennes. Elle étaient si douces, si tendre envers moi. Je le trouvait adorable, charmant, amusant, beau, un garçon parfait en quelque sorte. Mais avais-je vraiment le droit d'avoir un tel bonheur ?

Je savais que cette larmes n'était pas du malheur bien au contraire. Pendant des années javais accumuler les souffrances, les déceptions, et d'un seul coup, juste par un regard, par un contact, elle m'offrais ce dont j’avais toujours rêver,, ce dont j’avais besoin. La sécurité d'être aimer enfin après je ne savais pas si elle m'aimer mais je me persuader de ça.Certe aimer c'est le risque d'être déçu, d’être triste, malheureux mais il peut aussi permettre de se sentir bien tout simplement. Ce qui me plaisais avec elle c'est surtout que le peu de temps que j’étaie prés d'elle elle me comprenait et déjà ça c'était immense. Une mai sur ma jou pour sécher ma larme me fit légèrement sourire, je ne détacher ^pas mes lèvres des siennes et je ne compter pas le faire. Je continuer d'effleurer ses si tendre lèvres sans essayer d'aller plus loin, je la respecter, au fond quand je me rappelais le garçon que j'était, une chose était sur. Je ne la méritais pas.

Curieusement, j'avais la forte impression que ce genre de sentiment me rappelait quelque chose que j'avais lu. Etais-ce vraiment cela ? Je n'en avais aucune idée, mais à l'instant même, tout ce qui m'effleurait l'esprit était que j'étais bien là où j'étais. Mes lèvres semblaient ne pas vouloir lâchés celle de Jamy. Je finis tout de même par reculer un peu ma tête, mais vraiment que très peu. Une chose m'intriguais. Beaucoup trop pour être franche, j'avais peur de poser la question mais je finis par me dire que au point où j'en étais, je pouvais lui demander ça.

- Je-je cherches depuis tout à l'heure quel sentiment je ressent, mais je n'arrive pas à mettre un mot dessus

Je devais être ridicule, en plus j'étais toute rouge et mon visage chaud.

Toujours ses lèvres sur les miennes je me sentais bien. Elle se retiras mais à peine, si peu que je sentais son souffle sur ma bouche, l'envie de récupérer ses lèvres était grande mais elle me demanda une chose étrange, étrange dans le sens où je me poser la même question. Je en pouvait d'écrire ce que je ressentais pour elle. Je la regardais, toujours autant hypnotiser pas son regard.Je réfléchi quelque seconde puis je m'éloigna un peu mais je lui pris la main pour lui montrer que je ne voulais pas partir.

-Un jour mon frère m'a dit que l'amour ne s'explique pas, c'est peut-être l'amour ce sentiment que tu ne peux pas expliquer.

En lui disant ça je venais de réaliser que pour ma part c'est exactement ce que je ressentais, de l'amour pour elle. Oui je ne vois que cette solution. Mais je me disait que au fond elle ne pouvait pas ressentir ça pour moi, je ne peus pas être aimer

Je baissa un peu la tête, me rendant compte que je devais être ridicule à demander une chose pareille mais sa réponse m'aider à décrire ce que je ressentais, pour lui.

- Alors je t'aime

C'est trop mot étaient sortit de ma bouche sans même que j'en décide. Je rougit et baissa les yeux. Je les ferma et baissa la tête totalement, j'avais peur de la réponse qu'il allait me donner alors que sans que je m'en rende compte, je l'avais dit. J'étais à la fois heureuse de lui avoir dit et en même temps inquiète que ce ne soit pas réciproque. Et s'il me disait que lui non ? Que devrais-je faire dans ce cas ? Mais la question inverse se posait également.

Je tomba des nus avec ce qu'elle venait de me dire, jamais de ma vie on en m'avait dit ça. Au fil des années je m’était fait à l'idée que je ne serais jamais aimer et cela me convenais mais la tout se chambouler dans ma tête et dans mon cœur.je resta quelque seconde sans parler ni bouger, il fallait que je réalise, une peur immense m'envahit. Et si je lui fessait du mal, es-que je pourrais supporter l'idée de faire du mal a cette personne qui éprouve de l'amour pour moi. C'est fou , j'était obséder par mon passer. Elle avait baisser la tête je la pris dans mes bras et la serra trés fort. Je pris ses mains me le va et me mit a genoux devant elle.

- Écoute je crois que je ressent pareil mais je ne peux pas te le dire, pas maintenant, je veux dire, à une époque ce mot pour moi n'avez pas de sens, je m'en servais pour attirer les filles et les faire souffrir mais je ne veus pas faire ça avec toi. Je veux que le jour où je le dise se soit un moment merveilleux pour toi, mais te le dire la dans ce vestiaire avec moi a moitié à poil se serai ne pas donner de sens à tout ça et je ne veus pas.Mais je n'en pense pas moin.

Je la regarder, je ne voulais pas lui faire de mal, j’espérais que si vraiment elle m'aimer elle attendrais que je soit prés.

Je me leva et m’approcha de son oreille et lui chuchota.

-Ne doutes pas une seule seconde sur le fait que je suis amoureux de toi.

Je souris à la fin des paroles qu'il me dit, en faite, un petit rire discret rejoins mon sourire. J'écouta attentivement ce qu'il me chuchota et sans même lui laisser le choix, je lui fi un bisou sur la joue.

- J'en suis comblée

Je lui souris, ma tête à coté de la sienne. J'allais l'enlacer quand les lumières s'éteignirent. En deux secondes, je compris que cet imbécile de concierge était revenu et avait éteint les lumières. On entendit la porte du gymnase se fermer puis plus rien.

- Quel imbécile !

Voilà que je me retrouvais dans la noir à coté du garçon d'on j'étais amoureuse à moitié à poil dans un vestiaire. Cette situation s'avérait déroutante.

Un très doux petit bisous sur la jour me rassura, mais d'un coup plus de lumière, je sursauta tellement fort que je recula et tombas car je venais de m'enméler les pieds, je tomba sur les casier ce qui fit un boucan terrible. Je me relevas assez vite pour ne pas qu’elle s’inquiète car je n’avais mal nul part. Je me dirigea ver elle et lui attrapas la main. Quand je la senti je la serre fort contre moi.

-Bon, je n’ai pas de lampe mais on connais le chemin, on devrait peut-être aller vérifier on ne sait jamais tant il a juste fait du bruit mais il à pas fermer la porte à clef.

Je la sentais contre moi et d'un cotés je ne voulais pas la laisser partir. Certe je ne la voyais pas mais je sentais sa présence, son odeur, je me sentais bien malgré la situation. Je ne pouvais la voir mais je poser quand même mon regard en sa direction. Je la pris par la main et me dirigea doucement ver la porte. Arriver à destination il fallait se rendre à l'évidence. Nous étions enfermer et totalement dans le noir.

Cette situation était plutôt gênante. On étais enfermés dans une pièce totalement dans le noir. Que c'est déroutant comme situation. J'étais totalement perdu dans ce noir complet quand j'entendis un bruit fracassant. Peu de temps après je sentis la présence de Jamy, ce qui me rassura beaucoup. Il me prit par la main du coup je le suivit. Je l'entendit essayer d'ouvrir la porte mais sa ne servait à rien, il avait fermé à clé.

- Ne te casse pas les pieds, il a fermé

Je lâcha sa main deux secondes et m'allongea au milieu du terrain. A force d'attendre, les quelque fenêtres du gymnase nous baignèrent dans une lumière blanche. Au moins, on avait un peu de lumière, c'était déjà ça.

J'essayai toujours d’ouvrir puis elle me confirmât ce que je venais de constater, nous étions enfermer. Elle me lâcha la main et se mit au milieu du terrain, il y avait un légère lumière blanche et mes yeux s'était habituer à l'obscurité. Je la regardais allonger sous le peu de faisceau de lumière, on aurait dit un ange, je souriais malgré moi, m'approchant d'elle, je m’assis prés d'elle. Je regarder dans le vide n'osant pas la toucher, mais je ne pouvais rester plus longtemps sans contempler ses yeux, je me tournas et la fixa, malgré l'obscurité je pouvais distinguer son magnifique regard bleu. On aurait dit un magnifique océan, un océan dont je voulais être le gardien, un océan qui cacher tellement de secret, je voulais qu'elle me laisse le temps de la découvrir. Je lui pris la main tendrement.

-Tu as peur ?

Je l'entendis s'approcher de moi. Je rabaissa un peu ma jupe, qui c'était un peu relevée quand je m'étais allongée. Je le regarda partit dans un vide total avant de croiser de nouveau son regard. Avec la lumière, ses yeux semblait être de l'or. Il me demandais si j'avais peur en me prenant la main.

- Pas vraiment, le noir ne m'effraye pas

Il devait me trouver bizarre. Après tout, les filles normales auraient chouinner et l'aurait forcer à enfoncer la porte. Alors oui, j'étais bizarre, non, pas bizarre, différente.

Elle n'avait pas peur, mais je savais que au fond elle était très sensible, comme moi. Une petite fille perdu, je le sentais. Je continuais de la contempler, profitant du fait qu'elle ne me voit pas beaucoup pour regarder un peu son corp, elle était tellement belle. Je serra un peu plus ma main dans la sienne. Je en voulais pas qu'elle pense que je voulais profiter de la situation c'est pour ça que je n'oser pas la toucher, alors que je n’avais qu'une envie, la prendre dans mes bras.

-Tu sais moi le noir m'a toujours un peu fait peur, mais tu n'as pas peur de rester seul avec moi ? vu que l'on va rester toute la nuit. Tant je suis un mauvais garçon.

Je lui dit ça avec un air un peu moqueur car je ne penser pas ce que je disais. Je continuais de la regarder, j'était subjuguer par sa beauté.

-Tu es vraiment magnifique.

Je sentis sa main serrer plus fort la mienne. Je souris à ses paroles, voyant bien son air moqueur.

- Devrais-je vraiment avoir peur ?

Je rigola un peu puis m'arrêta. J'attrapa la veste de Jamy et tira dessus pour qu'il s'allonge à coté de moi. Je rougis quand il me dit qu'il me trouvait belle.

- Pour ne pas te mentir, tu es bien le premier garçon à me dire ça

Je me leva et alla chercher deux matelas de mousse que je disposa par terre l'un à coté de l'autre. Je m'installa sur l'un d'eux, invitant Jamy à s'installer sur l'autre.

Elle entra dans mon jeu, j'aimais beaucoup cette entente. Quand je lui dit qu'elle était belle une fois de plus elle souligna le fait que j'était le seul garçon à lui avoir dit. Elle pris deux matelas qu'elle mit cote à cote, je m'allongea prés d'elle. Elle était allonger aussi en face de moi, je la regardais avec ma main sur sa joue. Je me sentais une fois captiver par ce jolie bleu qu'elle m'offrait.

- Je ne comprend pas pourquoi personne ne t'as jamais dit que tu es belle. Les autres garçon qui ne t’ont pas dit ça ce sont juste des imbéciles qui ne fessait pas attention. Moi je te regarde, et je vois la plus belle fille que j'ai jamais rencontrer, la plus douce et la plus fragile malgré les apparence. Si je t'avais connu avant je t'aurais rappeler chaque jour combien tu es belle à mes yeux, combien tu es merveilleuse. Tu vois je suis enfermer dans un gymnase mon premier jour d'école alors que je pourrais être tranquille dans mon lit. Sache que j'échangerais ma place pour rien au monde.

Je la regarder, encor et encor.

A ses paroles, une larme coula le long de ma joue.

- Tu sais que ce que tu viens de dire viens de manquer de faire arrêter mon cœur ?

J'étais sincère. Pendant qu'il avait parler, je n'avais pas sentis une seul fois un de mes battements de cœur. Touché par ce qu'il avait dit, je m'approcha un peu de lui et plaça ma tête juste devant la sienne. Je voulais voir s'il allait prendre l'initiative par lui même. Je restais là, mes yeux reflétant les siens, je me sentais si bien en sa compagnie, comment expliquer une chose si complexe et à la fois si simple ?

- Alors habitue toi à ce que ton cœur sarrette souvent de battre, car aussi longtemps que je serai amoureux, je ne me priverais pas de te donner tout l'amour que tu mérite.

Je voyais son regard briller, il me troubler de plus en plus, elle s'approcha tout prés de moi, je la comtenplat une fois de plus.

-Tu as plein d'étoiles dans les yeux. C'est jolie.

Son visage si prés du mien je ne pouvais résister une minute de plus, je posa mes lèvres sur les siennes. Avec le noir qui nous entourais, on aurait dit que nous partions dans un autre monde, oui c'est ça je partais loin mais je n'avais pas peur, car pour une fois je n'était plus seul. Je posa délicatement une main sur son ventre en lui montrant une fois de plus que je n'avais pas de mauvaise intention. Je savourais le baiser qu'elle m’offrais, je ne voulais pas aretter. C'était mieux que dans un rêve.

Je souris au fait que je devrais m'habituer à c'est réactions de la part de mon cœur. Il pris l'initiative que j'avais attendu, mais il restait toujours si tendre et si doux avec moi, c'était très agréable. Je sentis sa main glissé jusqu'à mon ventre, cela ne me dérangeait pas. Ma main se posa doucement sur son cou puis remonta vers sa joue. Nous étions si bien ici, dans le noir, sur nos matelas de mousse, après tout, qui ne serais pas bien dans une pareille situation ? Mes yeux se fermèrent doucement, comme pour rester dans un rêve proche de la réalité. Je ne voulais pas que cet instant se termine mais le sommeil commençait à peser.

- Excuse-moi, ce n'es pas toi qui m'endors mais j'ai eus une dur journée avec tous ce travail et je me suis fatigué avec le sport...

Ma voix s'atténuait petit à petit.

Sa main, si douce et délicate qui parcourait ma jou, mon cou. Jamais une fille n'avais eu de geste aussi tendre à mon égard, jamais même pas ma mère, ou alors je ne m'en souvint plus. Elle se sentais fatiguer et voulais se justifier. Je lui souris même si je savais qu'elle ne pourrais pas me voir.

-Ne t'en fait pas.

Je me redressa, enleva ma veste et lui mi dessus en guise de couverture, je posa un baiser sur son front et m'allongea prés d'elle.

-Tu peux dormir tranquille, je suis la et je veillerais sur tes rêve je te le promet.

Je la regardais avec tendresse et surtout avec beaucoup d'amour.

Je souris à ses douces paroles. Il déposa un baiser sur mon front quand mes yeux s'ouvrirent. Je pris appuis sur mon bras et l'embrassa doucement avec une touche de passion.

- Bonne nuit

Je lui souris puis m'allongea doucement près de lui avant de partir dans un rêves où il se trouvait. Je m'endormis avec un léger sourire aux lèvres.

Elle déposa un dernier baiser que je savouras. Elle s’allongea et fermas les yeux.

- Fait de beau rêve.


Je restas de longue minute a regarder le plafond, réalisant ce qu'il m'arrivait, hier j’étaie encor le garçon le plus malheureux du monde, et la je me retrouvais enfermer dans un gymnase avec une fille formidable qui vient de voler mon cœur. Je tournas la têtes pour la regarder dormir, je resta des heures à la regarder rêver, Une chose est sur, je venais de tomber amoureux d'un ange. Par cette pensée agréable, mes yeux se fermèrent enfin.

Cette nuit-là, je rêva de celui dont j'avais fais la connaissance le jour-même, et dont j'étais tomber follement amoureuse. Jamais je n'aurais pensé rencontrer un garçon comme Jamy et pourtant c'était arrivé. On passa donc une nuit dans un gymnase, allonger sur des matelas dans le noir. A mon réveille, Jamy et moi nous avions sûrement du beaucoup bouger vu la curieuse que nous avions à l'instant. J'essaya de m'en extirper mais les bras de Jamy enroulaient totalement mon ventre et ils m'empêchaient totalement de bouger. Je n'eu pas d'autre choix que de le réveiller pour qu'il me libère de cette pose un peu embarrassante.

- Jamy... Jamy... Réveille-toi...

Je lui chuchotait à l'oreille pour ne pas le réveiller trop brusquement. J'attendis de voir s'il allait se réveiller ou si j'allais devoir lui secouer les plumes pour l'extirper de son sommeil.